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Les amendes élevées ne sont pas évitées, même par les grandes entreprises technologiques. Un exemple de cette semaine est Google, qui risque actuellement une amende de l'ordre de plusieurs centaines de milliers d'euros, en raison du fait qu'il n'a pas été d'accord avec les éditeurs de presse français sur les redevances qu'il devrait leur payer conformément à la législation européenne. Règlements syndicaux. Dans la deuxième partie de notre résumé du jour d'aujourd'hui, nous parlerons du réseau social Twitter - pour changer, il est actuellement aux prises avec des désagréments liés à la vérification de faux comptes Twitter.

Google risque une amende pour avoir publié du contenu

Google risque une amende de 500 millions d'euros pour avoir omis de négocier les redevances avec les éditeurs de presse. Le plaignant est l'Autorité française de la concurrence. La France a été l'un des premiers pays européens à mettre en œuvre la directive européenne sur le droit d'auteur. La directive précitée est entrée en vigueur en 2019 et permet aux éditeurs d'exiger une rémunération financière pour la publication de leurs contenus publiés. Une coalition d'éditeurs de presse français a déposé une plainte auprès de l'Autorité de la concurrence contre Google, qui, selon elle, n'a pas respecté la directive. La présidente de l'autorité de la concurrence, Isabelle de Silva, a déclaré dans une interview accordée à Politico en début de semaine que Google n'acceptait apparemment pas la directive.

Google

Cependant, selon le président, la position dominante de Google ne lui donne aucun droit de réécrire les lois, règles et réglementations en vigueur. Un porte-parole de Google a déclaré dans ce contexte que l'entreprise est très déçue par la décision de l'autorité française de la concurrence : "Nous avons agi de bonne foi" il ajouta. Selon sa direction, Google est actuellement en négociations avec l'agence de presse française AFP, qui portent également sur des accords de licence.

Voici à quoi ressemble le premier Google Store :

Twitter a admis avoir vérifié par erreur de faux comptes

Les représentants du réseau social Twitter ont déclaré hier avoir bloqué définitivement un petit nombre de faux comptes qui avaient été vérifiés par inadvertance dans le passé. La vérification de faux comptes Twitter a été soulignée par un data scientist qui s'appelle Conspirador Norteño sur Twitter. Il a déclaré, entre autres, qu'il avait réussi à détecter six comptes Twitter faux et en même temps vérifiés, créés le 16 juin de cette année, dont aucun n'avait jamais publié un seul tweet. Deux de ces comptes utilisaient une photo d’archives comme photo de profil.

Découvrez les nouvelles fonctionnalités de Twitter :

Twitter a publié hier une déclaration admettant avoir accidentellement vérifié un petit nombre de faux comptes : "Nous avons désormais définitivement désactivé ces comptes et supprimé leur badge de vérification", dit-on dans le communiqué officiel mentionné. Mais l'incident suggère que le système d'authentification de Twitter peut être assez problématique. Twitter a lancé relativement récemment des demandes publiques de vérification et a fixé les conditions correspondantes. Selon Twitter, les comptes à vérifier doivent être « authentiques et actifs », une exigence à laquelle lesdits comptes supprimés ne répondaient pas du tout. Les six faux comptes mentionnés comptaient au total 976 abonnés suspects, tous les comptes d'abonnés ayant été créés entre le 19 et le 20 juin de cette année. Des photos de profil générées artificiellement peuvent être trouvées sur la plupart de ces faux comptes.

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